Le Journal de Nanaya

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kentora
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Message par kentora » ven. août 09, 2013 11:01 am

Les deux premières scéances
Le Vingt Troisième Jour du Mois de Tarsakh La Griffe des tempêtes (Avril) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept – Année du Bouclier :

Je fus arrivé deux jours auparavant au village de Valombre, connue pour la Tour du Mage Elminster. Je logeai dans chambre à l’auberge « Du Vieux Crâne » (12 sur la carte de Valombre_03) avec le reste d’un maigre pécule donnée par Mama.
C’est la chambre P - d’où j’écris en ce moment même – c’est une chambre forestière avec une verrière pour le bronzage et faire sortir Bob et moi aussi la nuit.

Le premier jour, je fis le tour de la ville (voir carte valombre_03 en ligne) et essayai de contacter le seigneur Trystemine AMCATHRA afin de lui remettre la lettre, sans succès.

La tenancière de l’auberge « Du Vieux Crâne » est tenue par Jhaele GRISON ; son mari petit, chauve et la cinquantaine ; est le cuisinier de l’établissement, son service est rapide - un peu long selon certaines personnes - mais les repas sont de qualité, même si ce fut un peu trop gras à mon gout, le cidre ne fut, lui, pas mauvais. Je verrai bien ce soir.

Conclusion : Mes premières appréhensions passées, la chambre est plutôt confortable, même si il manque un peu d’espace. La nourriture est un peu trop grasse mais pas mauvaise du tout, mais les propriétaires sont compréhensifs et servent aussi des plats plus adapté à mes goûts.
Par contre je suis ravi que l’auberge serve autre chose que la bière, car celle de mes rares escale furent infectes.


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Le Vingt Sixième Jour du Mois de Tarsakh La Griffe des tempêtes (Avril) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

En début de soirée du Vingt Troisième jour du mois de Tarsakh La Griffe des tempêtes (Avril) de l’an 1367.
Attablé avec mes compagnons de tablé, logeant dans différentes chambres de l’auberge.
Ces personnes deviendront mes copains d’aventure :
- La première (les PJ) Miria Rougelame, guerrière rousse et enjoué, habillée de métal – je ne trouverai pas cela confortable mais bon.
- Alliser, un mage mais il n’utilise pas essence divine comme moi et est en robe (quel couleur Sam) ; - Shoon, un prêtre d’Ilmater (le dieu de la souffrance, et des martyrs), il était recouvert de bandages (souffrir physiquement pour vénérer son dieu, ses adorateurs sont masochistes tout de même)
- Et pour terminer, Andelys une belle prêtresse de Sunie (déesse de la beauté et de l’amour), elle est vraiment belle mais trop peu vêtu je trouve, elle finira par attraper froid.
Ces deux derniers repartiront vers une autre mission après l’aventure comptée ci-dessous.

Les autres personnes présentes dans la salle de restauration sont :
- Un demi elfe du nom de An Tinva, joua de la Lyre et chanta dans un coin, la mélodie fut douce et reposante.
- La Mère Tara qui mangea au comptoir est la propriétaire de la salle des fêtes du village (23 Valombre_03)
- Tandis que Dora Lyn, la femme de chambre, aida au service en salle lors de la soirée.
- Il y eut aussi trois aventuriers éreintés revenant de leur mission, furent parti directement dans leurs chambres se reposer.


Au début de la veillée, à la nuit tombé, un cri retentissant vint de la rue. Nous y accourûmes pour retrouver une personne fraîchement assassinée au croisement, à côté du panneau aux messages (13 valombre_03).
Malgré les premiers soins prodigués par Shoon, la victime succomba de ses blessures et essayant de trouver d’où vint la victime. Les gardes arrivèrent peu après nous emmenâmes directement en geôle pour la nuit. Sans aucune autre forme d’explication – il ne voulait pas s’embêter à chercher la nuit bande de marseillais.
Les geôles ça puai le moisi, il fit noir et humide.


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Le lendemain, Vingt Quatrième jour du mois de Tarsakh La Griffe des tempêtes (Avril) de l’an 1367 ; nous fumes présentés – et même pas lavée - devant la Reine Shaerl SOMBRETOGE, son mari le Roy Trystemine AMCATHRA ainsi qu’un homme d’environ 30 ans, Itar qui est équipé d’une épée et qui sais s’en servir.
Le Seigneur nous remit notre première mission d’aventurier. Celle d’enquêter sur l’assassinat de la nuit précédente, en étant accompagné par Itar pour nous surveiller.
C’est aussi lors de cet « entretien » que je remis la lettre de mission de son assassinat trouvé sur un bandit, au Roy. Lettre qui justifie mon arrivé à Valombre.

Durant cette même matinée, une deuxième victime fut retrouvée à la pension de famille Latha (21 ; valombre_03) où 4 gardes sont présents devant l’établissement où la victime fut retrouvée en position assise.

Après la journée d’enquête, la première victime dont l’identité fut et reste inconnue mis à part avoir été un espion sembien, est morte en deux coups : un coup de dague violent et un plus petit avec un stylet empoissonnée selon les spécialistes, qui justifia la mort rapide où Shoon ne put rien faire. Les morceaux de bois sont issus du tableau où il a essayé férocement de rester debout.
La seule chose connue est qu’il fit affaire avec le tisserand Meryl TREMP en achetant régulièrement des étoffes de soie. Tous comme la victime suivante.

Kaerl TELMT, la seconde victime fut un représentant commercial sembien - activité inconnue par la ville - sous couvert du métier ornithologiste et de commerçant, et logeait à la pension depuis une semaine. Personne de bonne éducation selon la gérante.
Il fut tué par magie en se faisant noyer.
Durant son décès il ne fut pas seul. Nous trouvâmes 2 verres de vin ainsi que le pichet et la corbeille de fruit. De plus, la présence d’eau tiède dans la baignoire permit d’affirmer le crime magique via création d’eau. Je trouvai au fond de la baignoire une bourse de 500 barres de sa compagnie marchande.

Les deux garçons de magasin (dont un, un peu malhabile que je soignai) du marchand WERGOUND (18 ; Valombre _03) en déplacement dans une autre cité ; et le tisserand TULBA (5 ; valombre_03) et ses ouvriers fort affairés dans la confection de ses commandes. Le tisserand nous confirma bien les commandes pour la première victime (je ne me souviens plus exactement).

Le soir au moment de la veillée, nous vîmes une scène cocasse à l’auberge. Le seigneur Trystemine présent pour y boire, lança une boutade à la tenancière Jhaele qui lui répondit en versant la chope du premier sur sa tête, celui-ci se laissa faire, à croire qu’il eut l’habitude.
Au même moment, un drôle de bonhomme zozotant et ventripotent entra. Jhaele nous renseigna qu’il se nomme Lhaeo, qui est amateur de bonne cuisine et qu’il administre les affaires d’Elminster à la fameuse tour (4 ; valombre_03).

Après le départ des derniers externes, au moment du couché, une énorme silhouette rentra brutalement dans l’auberge. Un demi orque (c’est toujours mieux qu’un entier, car bien plus cruels) en salopette nommé Fronx vint nous annoncer une 3ème victime, le fermier Elaith CONIVERE originaire du proche Cormyr, récemment installer dans une ferme qu’il eut repris.
Il fut retrouvé pendu dans sa grange mais auparavant étouffé par sont oreiller lors de son sommeil, un morceau de tissus vert et arraché fut retrouvé.
Plus aucun doute le criminel est un Mage Assassin.


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Hier matin, accompagné par Fronx, nous vîmes un cavalier s’en allant ressemblant fortement à Shoon. Habillé d’une veste verte, il fut mis hors d’état de vivre par le demi-orque (en fait aussi sauvage que les purs).
Sur lui, nous retrouvâmes un parchemin de Kaerl décrivant Elaith comme un possible espion cormyrien. Ainsi que le signe du « Réseau Noire » de Château Zentyl(voir Atlas du monde connu).

Durant la soirée juste après le départ de Lhaeo et une remarque de Dora, Itar se lèva d’un bon –que nous suivîmes en hâte- pour rejoindre le gastronome en danger.
En effet nous interceptons de justesse un autre assassin, éliminé par un brillant lancé d’épée de Itar.
Celui-ci vint non pas de Château Zentyl mais de Amn(voir Atlas du monde connu). Sa dague portait les insignes du Soleil Noir affilié à Cyrik (voir RO Dieux), divinité du mensonge, du meurtre et de la folie.
Lhaeo pour nous remercier nous donnâmes son secret, que je n’inscrirai pas dans ce journal.


[la nature du secret : Lhaeo est originaire du Tetyr, un dés princes d’un royaume féodal ou ils sont soumis à une rude sélection naturel, voulant échapper à cela, Elminster l’a pris sous son aile]

Conclusion : Des compagnons sympas et compétant, des geôles pourris et enfin notre première aventure : deux assassins au mode opératoire différent, avec deux objectifs distincts… que d’activité chez les humains

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Le Vingt Neuvième Jour du Mois de Tarsakh La Griffe des tempêtes (Avril) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

Trois jours après l’événement – d’un ennui profond pour certain - je continuai mes promenades découvertes aux alentours évitant les lieux interdits et dangereux, et cueillant des fruits et préparant quelques baies, au cas où un événement se montrera.
Shoon et Andelys eurent quitté le groupe, vers d’autres destinations.
La veille Erwin, un jeune prêtre du temple de Haum local, décida de nous rejoindre, suite à la résolution l’enquête.
A l’heure du déjeuné arriva un homme, William Snow (voir PJ) qui partageât notre table.
Puis nous nous rendîmes peu après au le Panneau des Messages (13 ; valombre_03)où les annonces suivante furent affichées :
- Clôture à réparer 4 PO jour, 2jours
- Nettoyage d’une étable 4 Pa /jour, 2 Personnes
- Creuser un puit pour une ferme isolée, 15 pa perso 3 perso, 1 semaine
- Salle de la fête à décorer pour 2 Jours, 5 Pa, 6 personnes

Moi et William allâmes chez Mère Tara, à la décoration de la salle des fêtes (27), il y a en plus 2 gamins du coin et un aventurier (vu il y a quelque jours).
Les trois autres (Miria, Erwin , Alliser) allèrent refaire la clôture qu’ils finissent dans la journée.
Le soir j’allai au cercle druidique et fait quelques prières et faits des baies nourricières histoires d’être prêtes au cas où.

Conclusion : un peu de calme pour découvrir les environs, prier, et cueillir des fruits. Sinon faire des fleurs en tissus c’est marrant et plus facile qu'avec de la peau.


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Le Premier Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

La veille, je retournai au boulot, sans William - qui n’est pas doué pour la couture. Les quatre compères attendirent donc au Panneau des Messages,
Puis furent affichées par les miliciens du village trois missions dignes pour des aventuriers.
Où des aventuriers et de nombreux badauds s’attroupèrent autour du panneau.

D’après ce que j’eus compris, Erwin réussi à arracher la dernière annonce, après que deux autres équipes chevronnées furent passées trois doigts avant ; aidée par Miria dans l’intimidation des badauds et sa tentative contre un nain (ce fut la première fois que j’en vis un, ça semble costaud et très obtus). Aussi un des badaud clopinant voulu nous rejoindre, mais Erwin le rabroua, cassant ses rêves, mais pour son bien.

La mission fut décrite comme ceci : « Travail de récupération, voir l’intendant de Trystemine, Satollan Bacarle ».

D’après l’intendant - et les dires de mes compagnons - il fallu récupérer dans une tombe elfique un objet de la famille Elevresca.
Cette mission –que je sentis fumeuses des qu’on me la présenta – aurait été validée par le conseil d’Eternelle Rencontre.
Ce mausolée se situerait dans une clairière à la lisière du sinistre Bois des Araignées, au temple Elialkenal. Sur la route une stèle nous indiquerait l’entrée du bois, ainsi qu’un alignement de stèles semblables où nous arriverions au dit temple.
Comme indice nous avons un parchemin sur lequel figure une illustration d’un vase en argent avec des inscriptions, probablement en elfe ancien (que le mj à perdu).
Sur un deuxième parchemin décrivant la mission, sur l’entête, il y une signature stylisé des elfes du soleil – affirmant la provenance d’Eternelle Rencontre.

Ce matin, selon les informations obtenue au village, le passé du Bois semblerait méconnue, son influence serai mauvaise et serai évité par les marchands et la route principale allant vers Tilverton.
Elle serait connue pour abriter des Araignées, et des Ethercap –un hybride homme araignée- et qu’il serait fortement déconseillé y aller de nuit.
Nous partirons dans l’après midi vers cette première mission.

Conclusion : Enfin le début de l’aventure, mais je ne sais pas pourquoi cette mission sent le moisi…


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Le Deuxième Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

Sur le chemin vers le mausolée je préparai – encore et toujours - des baies dont certaine donné à Alliser, les autres les refusant (bandes d’ingrats, des myrtilles toute fraiches). De plus je cueillis des fruits et des légumes de saisons comme provision pour deux journées.

Après avoir difficilement repérer la stèle d’entrée. Nous entrâmes dans la forêt en empruntant le sentier où règne un silence de mort. En s’y enfonçant plus profondément, des araignées très petites nous rencontrâmes des spécimens plus gros (pas énorme non plus) jusqu’à une clairière enguirlandée de toile où nous trouvâmes un gigantesque et effroyable cocon emprisonnant un ours hors service.
Un peu plus loin nous entendîmes une voie d’enfant, qui senti bien sur le piège, nous décidâmes de continuer – malgré la nécessité de certains d’aller au cœur du danger - vers la première stèle visible. Celle-ci est sculptée avec une feuille de chêne commun sur la pierre, qui nous montre magiquement le chemin.
Continuant, je trébuchai sur la seconde stèle bien plus discrète, enfoncé entre deux racines, nous fûmes à environ trente minutes depuis la route.

Apres palabres et arguments de certains Futur Zéros Mort au Combat Fini Comme Diner pour Araignée, nous allâmes prudemment vers les pleurs dans une direction aléatoire pour finir comme repas au milieu d’araignées de tailles différentes - partant de l’araignée minuscule à celle de la taille d’un gros loup. Notre hôte (la plus grosse présente) nous accueillîmes par un largage de soie gluant. Collant William et Alliser.
Après avoir dépêtré ces derniers, et Miria tenu à distance les créatures – et achevé la cracheuse. Nous bâtîmes donc retraite après avoir allumé du feu sur de l’huile jetés auparavant, pour les déstabilisées. Mais nous fûmes vite poursuivis par la horde aux fesses – dont certains ayant du temps à perdre, décidèrent de trébucher sur une racine.

Après quelques minutes, nous entrâmes en trombe dans une clairière avec trois grands chênes ainsi que quelques buissons et de plusieurs stèles en son centre, dont certaines dégagèrent une aura magique, indiquant une direction.
Nous fûmes à l’entrée du mausolée où les créatures ne nous suivirent plus jusqu’à ce qu’une gigantesque araignée se mette à traverser la clairière, suivie par ses congénères.
Alliser plongeât littéralement comme un idiot dans un trou détecté par William, que nous suivîmes plus prudemment pour nous trouver dans une salle au plafond effondré qui correspond au trou cité plus haut.
D’un côté un escalier magique, de l’autre côté sous un porche un couloir partant à droite avec une porte entre ouverte défoncé un peu plus loin.
L’escalier magique sembla être l’entrée officielle du mausolée et nous nous trouvâmes donc dans l’antichambre de la catacombe.
Mais nous déviâmes fuir vers le couloir, les araignées géantes affluant vers, puis dans le trou. La porte entre ouverte dans le couloir à l’opposé de l’escalier, et initialement bloquée par une barre de fermeture de l’autre côté de cette même porte, fut verrouillée par Erwin, les araignées furent stoppées en grattant à la porte.
De ce côté de la porte, le couloir fût propre – à l’inverse du précédent. Nous arrivâmes dans une autre pièce toute aussi propre avec une vieille jatte au fond, avec un couloir qui mena vers une autre salle, ainsi qu’un râtelier d’arme vide…
Nous débouchâmes de ce couloir de quelques mètres, dans une autre salle rempli de six alcôves contenant chacune un sarcophage, dont certains brisés. Les gisants de familles d’elfe de lune (ou d’argent) sculptés dessus.
Deux dés tombeaux non brisées sont protégées par une aura magique qui eut l’air de densifier la pierre qui d’après Alliser serai de la transmutation de solidification avec altération. Les autres continrent une magie résiduelle.
Les très anciennes écritures et fresques représentent des batailles : des elfes de lune opposés aux Drow ; sur une autre, contre des globlours… toutes contre des non-elfes.
L’une des fresques en bonne état fit paraître sur le bas la signature du sculpteur, un elfe des bois.

Au fond de cette pièce il y a une margelle « enduite » d’un sort de divination.
Aussi un courant d’air régulier passe par un minuscule trou, il semble y avoir un autre souterrain en dessous avec une pierre bien taillé.

Miria lut sur l’une des sépultures « Fureur d’Angharradh ». Ce titre représente la trinité divine elfique Angharradh (Aerdri Faenya, Hanali Celanil, et Sehanine Archelune) qui en fusionnant devinrent une puissante entité utilisée dernièrement contre Moandre dieu ancien de la pourriture, de la décadence et de la corruption. Cette trinité est caractérisée par les symboles du printemps, de la fertilité, de la naissance, de la défense et de la sagesse.

En ayant fouillé les tombes fracturées, Miria tombe sur des pièces de monnaie en or du légendaire Empire Netheris. La légende serait réalité...

Derrière l’une des tombes, Miria surprit une jambe suivie d’un corps vivant vêtu d’habits récent, accueilli par une hallebarde ainsi que le contenu d’une cruche d’eau dans la tronche.
C’est une connaissance à William ; un demi-elfe bien habillé nommé Sol qui nous baratina sur son métier « archéologue » ainsi que les aventuriers qu’ils l’eurent abandonnés. Abandon expliqué par la morsure d’araignée, une grosse blessure qui est entrain de se refermer, le venin n’ayant pas assé fait effet. Sol le Barde nous confirma que la catacombe est très ancienne, entre mil à deux mil ans, et que toutes les tombes sont celle d’elfe d’argent.

Ne trouvant pas la solution pour continuer, nous décidâmes de nous reposer et faire le point sur les provisions de chacun. L’eau finira par manquer à certain, mais le mage pourra en recréer. Au niveau nourriture nous avons de quoi tenir deux jours, du moins en ce qui me concerne j’ai un peu plus.

Lors de mon tour de garde, au moment où je termine ces quelques lignes ci-dessus, les araignées sont toujours en train de gratter à la porte. Cette sortie nous est condamnée, nous avons donc intérêt à trouver la sortie indiquée par le bienfaiteur courant d’air.

Conclusion : Un bois portant bien son nom où j’espère en sortir asser rapidement. Un tombeau mystérieux à moitié pillé. Je ne sais pas, je sens que je ne vais toujours pas aimer la suite. Et un nouveau compagnon sans ration, il va falloir faire vite pour trouver une autre sortie.

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Re: Le Journal de Nanaya

Message par kentora » ven. août 09, 2013 11:21 am

3ème à la 4ème séance
Le Xième Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

Le matin du Troisième Jour de Mirtul La fonte, Alliser et moi-même sondâmes le trou avec un caillou lumineux chutant d’environ deux mètre, ainsi que de le contenue d’une outre d’eau. Ce trou semblait être à première vue, un conduit d’écoulement.
Ensuite, ne trouvant toujours pas de solution autre que la dalle magique je me permis d’y marcher dessus. Quelques secondes plus tard, un passage dans le mur s’ouvrit.
Et un couloir en escalier en pente et courbe douce se dévoila à nous. Le passage se referma lorsque j’y rentrai, la dernière. Le couloir compte deux cent cinquante et une marches, peint de frises murales qui représentent des scènes, mettant en scène différent dieux du panthéon elfique. En bas arrivâmes dans une salle avec un symbole de la trinité elfique et du symbole d’Angharradh gravé sur le mur du fond. Mais ce dernier n’étant pas de magique. Nous fûmes confrontés à notre première énigme velue. Après avoir testé différentes combinaisons et compris la clé de l’enigme qui est « elles aiment être ensemble mais elles n’aiment pas être fusionnée », solution limité par Trente marches magiques dont l'une serait le passage. Après maintes recherches, la deux cent trente et unième marche fut la bonne, représenté par une fresque d’Angharradh, avec l’inscription suivant en elfique : « hamper la déesse », ce geste constitue un signe de pardon chez les elfes. Alliser en premier, hampe au front l’image de la déesse sur le mur, et disparu. Nous fîmes alors de même.

Nous atterrîmes dans une pièce circulaire en parquet, où un champ d’énergie poussiéreux emprisonnait un humanoïde, plus exactement un baelnorne , qui semble crier et surtout souffrir. Nous ne prîmes ni le risque d’arrêter la prison magique, ni de libérer le prisonnier, qui au vue des souffrances endurées, ne devait plus être lucide. En tout cas cela confirme le passage il y longtemps de quelqu’un de puissant. Peut-être devrions-nous en parler –ou laisser un message – à Elminster.
Au milieu, la présence d’un caillou ainsi qu’une flaque d’eau nous confirme que la salle des sarcophages est juste au dessus et que le trou servait à la baelnorne pour rejoindre le niveau supérieur.
A l’opposé de notre point d’arrivé, le planché grinça quand on marchait dessus ainsi que la présence du souffle du fameux courent d’air, ainsi Miria après quelques coups de hallebarde trouva un escalier.

L’escalier était raide et débouchait dans un long couloir bas de plafond. La pierre était taillée de façon brute, differement de l’architecture de la crypte. Nous pénétrâmes dans une salle contenant des caisses, une table, et une porte fermée à clé, crocheté rapidement par William.
De l’autre côté, une salle octogonale d’architecture non-elfique, dont trônait au milieu un pied vestale sur laquel était une machine relier par des fils ainsi qu’un pupitre avec un livre ouvert dessus. Au fond, une étude avec une bibliothèque et une porte au fond.
La « machine » comprenait un support central relié par huit autres plus petits autours. Le pupitre était relié à cette machine et le livre était en ivoire. Le chiffre Huit représente les huit écoles de magie différentes. Mais la magie ne sembla pas elfique ou humaine.

Après une fouille de la pièce du fond je trouvai dans une des deux bibliothèques une vieille bouteille non ouverte d’Everquiste ainsi que son verre qui eut une place privilégié dans mon sac. Ainsi que deux livres en elfique parlant du bois des araignées.
Sur le bureau nous y trouvâmes un vieux carnet (sans doute le journal du Mage) en elfique que je pris pour pouvoir le lire plus tard et de vieilles pièces prise par Sol,
Erwin trouva une facture de pierre de lune, un coffre contenant de nombreuses pierres de Lune (20000PO selon les experts) de pierre de lune ainsi qu’une pièce de platine.
William et Sol ouvrirent l’armoire. Surpris, ils hurlèrent d’effroi alors qu’un stupide pantin bondi de celle-ci.
Après un bref silence. Un gros bruit de craquement de roche se fit entendre, ainsi que quelques gravillons roulèrent à mes pieds.
Ce bruit fut l’activation d’un piège : le réveil de deux golems de pierre de forme cubique d’un mètre de côté. Le combat ce centra au centre de la pièce autour de Miria.
Ces deux golems étaient usées et fissurées tout comme le reste de la pièce. Cela me permis d’en imbiber un d’eau afin de le faire éclater par les cônes de glaces d’Alliser. Erwin et Miria, de leur côté défendirent du mieux qu’ils purent mais finirent par ce faire valser au vue de la force des golems, Ainsi qu’Alliser salement amoché mais vite remis sur pieds après un sort et les dernières baies chargées de magies.
L’encouragement de Sol se fit en chantant histoire de ne pas déchanter face aux gardiens.
Le premier golem finis par éclater et tomber en petit tas de pierres après une deuxième tentative de glaciation.
Tandis que certain se recentre sur le couloir. Alliser nous ayant expliqué que les golem sont des machines avec un ordre simple (comme protéger un lieu ou un objet) sur une zone précise.
Je me précipitai vers la porte d’où provenait le courent d’air pour l’ouvrir, mais elle fût verrouillé.
Le Golem encore entier se rapprochant lentement mais surement vers moi, je rejoignis le reste des compagnons dans le couloir.
Lorsque je sortie de la zone définie, le golem se dirigea vers son compagnon en miette, et l’entassa devant la table du bureau, fais un tour de la salle s’installe sur son compagnon puis ne bougea plus en émettant une lumière clignotante sur son front.
Quelques minutes plus tard, Miria, sur les conseils d’Alliser sur les golems, décida de retourner prudemment vers l’atelier de peur de réactiver le golem. William s’occupa à déverrouiller la porte, l’ouvrant et dévoilant un couloir dans une grotte, ainsi que l’arrivé du courent d’air.
De notre côté, Sol devant, Alliser et moi-même fouillâmes l’intérieur armoire, on y trouva l’horrible pantin-pluie qui eut fait peur à Sol et Wiliam, Alliser décida de le prendre (pas très utile sauf pour faire peur ou faire un spectacle de marionnettes). Ensuite Sol en sorti un étui en cuir qui est une trousse à outils, une dague et son fourreau, un coffret contenant des vélins et un carnet de note écrit en langues anciennes nain, gnome et elfique.
Après avoir eut vidées l’armoire, nous décidâmes de nous reposer, mais nous vérifiâmes les objets obtenues précédemment de l’armoire et du bureau avant notre repos.
(merci au joueur de dire quels objets ils ont, ainsi que ceux caché par certain afin de les enlever de ma liste)
Voici les objets :
La dague à un port déséquilibrée, avec un manche ornementé elfique et une lame d’une autre origine avec une cachette et son fourreau.
Selon certain, une trousse d’outil de joaillerie.
Un coffret avec huit emplacement de pierre qui permettent d’activé le réceptacle.
Une flute dans son étui.
Les vélins de partitions et le carnet – analysé par Alliser – écrite différentes langue anciennes seraient des schémas de différentes combinaisons du réceptacle ainsi que le « crépuscule d’ivoire » .
Nous avons aussi profité de l’Everquist qui fus chargé en magie de la salle.
Durant mon tour de garde, mis à part des bruits lointain venant de la grotte. J’explorai la salle : le réceptacle contient des écritures elfique ancienne, le piédestal radie d’une aura de transmutation, mais je ne préfère pas y touché ne sachant pas ce que ça risque de déclencher. De plus je me remis à lire le bazar sur le bureau assis sur le bureau, il y a des schémas et des notes diverses mais indescriptibles.

Conclusion : Bon on va bientôt retrouver le monde extérieur, car les rations commencent à manquer et les baies furent toute consommées. Il reste un fond d’Everquist et les mystères de cette salle sont nombreux, heureusement Alliser et moi avons des dessins des lieux, en tous cas il faut vite revoir le seigneur Trystemine. Et si possible Lhateo et Elminster si ils ont des informations sur la crypte et sur les documents trouvé, y compris le vase……

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Re: Le Journal de Nanaya

Message par kentora » mar. nov. 26, 2013 4:56 pm

Fin de la séance du 19 octobre 2013, scéance du 8 Mars 2014
Le XIème Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :

Au réveil, nous entrâmes dans la grotte en suivant– et je décide de marquer le chemin depuis la salle - nous exterminâmes quelques araignées et des troglodytes puant à des lieux.
Dans une grande salle nous découvrîmes le cadavre d’un dés compagnons de Sol dans un cocon, en cours de digestion, il fût fouillé rapidement (rapière, deux dagues enchanté se transformant en trident).
Je récupérai la fibule de Mailikki , fibule ornementé d’une licorne. Elle est la divinité de la forêt, des dryades, de l’automne et des rôdeurs, fille de Sylvanus. Étant sans doute dééfique, je l’analysa plus tard…
A peine plus loin, nous rencontrâmes un deuxième compagnon de Sol, carbonisé récemment, suivi d’un combat de Troglodyte, Puis le troisième cadavre, cloué aux mur par une lance et de morsures d’araignées.
Dans son sac à ses pieds nous trouvâmes le vase de la quête. Ainsi qu’un diadème en quartz et des harpes.
Après cela nous trouvâmes la sortie de la grotte et rentrâmes à Valombre. Où nous discutâmes de la suite de l’aventure ainsi que les informations trouvés. Concernant les informations nous avançâmes peu ce qui ne fit pas avancer l’aventure.
Nous demandâmes donc à Jhaele à rencontrer un aventurier expérimenté, requête exécutée après que Jhaele se fut installé à notre table, en nous offrant une tournée – l’heure de service étant creuse.
Nous lui parlâmes alors plus en détail de notre aventure. Ainsi que notre désir de réponses (symbole, politique, protection...). Mais elles nous conseillâmes d’aller en informé le château lors de la remise de l’objet car le sujet semblait plutôt sérieux.

Conclusion : la quête du vase nous ramène plein de questions, dont certaines sont aussi grosse que leurs mystères…

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Le XIIème Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :



Lendemain, avant d’aller voir l’intendant, Alliser et moi somme aller au temple de Lathendre (divinité du renouveau et de la créativité), pour voir un érudit –enfin érudit pour Valombre.
Après analyse du bibliothécaire, eut des difficultés à reconnaître les caractères et des racines de mots – rien de nouveau donc.
Durant notre audience à la Tour Biscornu auprès de l’intendant du seigneur de Valombre. En lui montrant et restituant le vase… nous lui parlâmes de notre aventure.
Sol s’effaça lorsqu’on parle de ses compagnons, et lui racontâmes nos découverte dans la tombe, entre autre la baelnorn et le piédestal magique –aidé par les écrits et croquis relevés. Curieux l’Intendant nous donnâmes une missive ainsi une bourse pour nous et aller voir Trystemine aux audiences.
A l’audience –où Trystemine avait la mine dépité- nous fûmes précédés de deux paysans ennuyeux dissertant sur une poule et un œuf…,
Suivi de deux prêtres parlant de leur rêves commun à tous les adeptes de Lathendre – Trystemine fut encore plus passionné que précédemment étant fort peu intéressé « par le rêve des cultistes, ni de sa femme »-, sans doute une consommation de champignon, une prémonition où les deux à la fois…
A notre tour, nous lui remettons la missive, puis parlâmes de notre aventure des caveaux, de la Baelnorn, dont le trésor qu’elle devait garder… puis lui montrons les documents trouvé sur place ainsi que les croquis – il fût plus curieux et passionné que précédemment.
Sol semble connue de Trystemine, il ouvra une investigation sur le phénomène – Sol est sans doute de la famille de Trystemine, ou l’un de ses conseillé.
L’analyse du noble par rapport aux gemmes couteuses, et les écris trouvés, nous conseille de trouver un traducteur dont quelques villes nous sont cités : Tilverton, Eaux-Profonde, Haute-Lune…
Nous risquerions d’être recontactés par la cours elfique sur cet événement.

En quittant l’audience, nous fûmes attendu par Kalion, un mignon elfe de lune plus jeune que moi et Ethanael, un prêtre de Lathandre – dieu de l’aube, de la vigueur, la jeunesse et du renouveau ; l’un des cultes principal de Valombre,
Le prêtre nous raconta alors son rêve :
« Tu marches seul dans un sous bois plutôt quelconque et peut-être vieillissant. Autour de toi, des silhouettes anonymes et sans visage t'accompagnent. Après quelques temps, le jour tombe et tu t’assoies contre une vieille souche, le nez planté dans le ciel. 8 étoiles apparaissent finalement dans le ciel, et des ombres menaçantes semble t'empêcher de vouloir les "cueillir".
Finalement, elles finissent par se poser dans tes mains en coupe, et tu les poses sur la souche au moment où l'aube point à l'horizon. Et là l'arbre semble revivre, lançant des branches et des bourgeons tout azimut »
Rêve qui serait en rapport avec notre coffret de huit gemmes.

Miria décida de fêter notre retour et l’arrivé de nos nouveau compagnon autour d’un verre. D’ailleurs Sol et Erwin on décidé de quitter le groupe, ce dernier semblai mal à l’aise…
Sur les conseils du seigneur de Valombre, nous décidâmes d’aller à Tilverton, pour traduire les documents.
Sur les conseils de Lhaeo, la missive pour Elminster ne sera pas écrite, ne sachant pas où est ce dernier.

Conclusion : le vase est rendu, l’investigation commence et notre périple aussi… avec deux nouveaux compagnons

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Le XIIIème Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :


Nous partîmes ce matin même, le parcours se passa sans problème majeur – je fis quelques baies soins durant la matinée au cas où.
Nous arrêtâmes ce soir pour bivouaquer dans une petite clairière en bordure de la route. Après répartition des taches, je m’occupai de la nourriture, facilement trouvé –avec un lapin en fin de vie en bonus, les carnivores ont été contant.
Nous passons alors tranquillement la nuit, je pris place dans les branchages alors que les autres préfèrent la complication d’une tente… Mis à part quelques loups rodant autour du camp appâté par le cheval d’Alliser et retenu par le jeune elfe.

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Le XIVème Jour du Mois de Mirtul La Fonte (Mai) de l’An Mil Trois Cent Soixante-Sept :


Nous arrivâmes à Tilverton en croisant une patrouille de dragon pourpre (25 soldats du Cormyr), comme d’habitude le pays est bien gardé, et les bandits et peaux vertes rôdent très peu dans le coin.
Nous décidâmes de nous poser dans une auberge pour la nuit.
Trois choix d’établissement s’offrant :
Le repos du seigneur du vent : petite mais confortable.
La sorcière murmurante : plutôt « mal famé ».
L’auberge de la revanche de Grimvald, auberge de marchand de grande taille, constitué d’alcôve pour transaction + chambre. 5 PO la nuit.
Nous choisîmes cette dernière

Après questionnement de l’auberge il nous conseilla la bibliothèque d’une mage nommée Filanid Tempras, réputé dure en affaire mais honnête. L’aubergiste nous parla aussi d’un Gaelerd Tosmerd, mais ce dernier ne semble pas être linguiste.
Se présentant à la tour de Filanid – ressemblant bien plus à une maison bourgeoise qu’une tour –
Un major d’homme, nous ouvre et nous donne rendez vous dans une heure, quand Madame aura terminé ce dernier. Miria négociera un service envers Filanid, nous permettant de ne pas payer, sacré négociatrice cette Miria – même si elle ne semble pas forcement m’apprécier.
Cela me permettra de voir à quoi ressemble la capitale, et de faire un tour chez Mama (ma mère adoptive).
Durant ce temps j’allai à la chapelle de Sylvanius, ridicule bosquet enchâssé autour d’une place, mais ce dernier fût vide, j’en profitai malgré tout pour y prier (et nettoyer si nécessaire) et essayer d'avoir de nouveau prodige qui me seront utile durant ma longue quête.

En revenant un homme « aisé » sort et part en calèche.
Le major d’homme nous fait alors entrer, nous priant de déposer nos armes et nos mantes.
Filanid, une humaine de 40ans fort bien habillée se présente. Et passâmes tout de suite aux choses sérieuses, en racontant une partie de l’aventure.
Après analyse du carnet, atypique, n’a pas la connaissance nécessaire pour traduire. Elle nous conseille d’aller à Suzail, capitale du Cormyr auprès des mages de guerres ou mage de la cours Alaphondard.
Miria proposa nos services à Filanid .Filanid qui nous proposa alors de nous donner une missive pour Alaphondard le lendemain et qui sera bien sur piégé.

Devant nous déplace plus rapidement. Nous partîmes à la recherche de montures.
Malheureusement cette ville est une vraie usine du cheval (haras, élevage intensif, sellerie, harnachement, voir sans doute viande…). Cette ambiance et philosophie va à l’encontre de la nature et du respect de cette dernière.
Écœuré, je n’eus donc pas trouvé de compagnon à ma hauteur ce soir là.
Au retour à l’auberge. Miria semble se douter de quelques choses de louche…

Conclusion : La traduction ce fera à la capital dont je n’en ai qu’entendu parler, en attendant je pense qu’il va falloir se méfier de cette ville, qui malgré ses air prospère, semble cacher quelques sombres secrets…

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